C’est une mission complexe qui nécessite de nombreuses précautions et du savoir-faire. Vous vous demandez peut-être comment procéder concrètement ? Découvrez dans cet article 6 conseils pour réussir votre premier contact avec un potentiel partenaire. La ponctualité, la première règle à respecter La ponctualité est une vertu clé, dit-on. Pourtant, aujourd’hui, il est devenu presque […]
Quel entrepreneur êtes-vous ?
L’entrepreneuriat se développe, nous sommes de plus en plus à choisir de tenter l’aventure en créant notre entreprise. Bien qu’il existe autant de types d’entrepreneurs que de porteurs de projet, il est possible de distinguer quelques grandes catégories qui ont chacune leur spécificités.
L’entrepreneur « pissenlit »
L’entrepreneur « pissenlit » est typiquement le profil du serial entrepreneur.
Il crée une entreprise en toute circonstance. Quel que soit son environnement, il foisonne d’idées et les développe facilement. L’entrepreneur « pissenlit » aime trouver de nouveaux projets et les concrétiser. Par contre, diriger une équipe ou gérer une entité sur le long terme le passionne moins. Souvent, il revend son entreprise une fois celle-ci sur les rails pour se consacrer à une nouvelle idée et revivre les phases de démarrage qu’il affectionne tant.
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L’entrepreneur « chêne »
Le chêne est un arbre robuste. Mais il lui faut du temps pour acquérir cette taille et cette force qui le rendent si emblématique. Au début, l’entrepreneur « chêne » se sent fragile. Il manque de confiance et il sait qu’il ne se lancera jamais dans l’aventure entrepreneuriale sans se sentir absolument sûr de lui. L’entrepreneur « chêne » a besoin de temps pour se sentir prêt.
Alors, il se forme. Il découvre le terrain aussi, en tant que salarié. S’il créé son entreprise « en cours de route », ce serait surtout par nécessité, comme un licenciement par exemple, qui l’obligerait à repenser ses plans ; à sortir de terre sans racines suffisantes, selon lui.
L’entrepreneur « orchidée »
L’entrepreneur « orchidée »
est, tout comme la fleur, très délicat. Son épanouissement nécessite des conditions particulières et optimales. Il doit être soutenu par un regard extérieur. Les autres sont l’engrais qui lui permettra de s’envoler ; ou des parasites tueurs, s’ils ne l’encouragent pas dans la voie de l’entrepreneuriat. L’entrepreneur « orchidée » doit être accompagné par des professionnels et même incubé dans une couveuse d’entreprise par exemple. Ce n’est qu’entouré de ses pairs qu’il se sentira stimulé.
L’entrepreneur « orchidée » se situe parfois à la frontière de « l’intrapreneuriat », explique Claude Ananou, c’est-à-dire qu’il exprime des comportements entrepreneuriaux dans les organisations pour lesquelles il travaille, il va de l’avant, il sait concevoir, introduire des innovations.
Une couveuse d’entreprise est une structure qui héberge juridiquement les entrepreneurs, afin qu’ils testent leur activité sans s’immatriculer. Les couveuses disposent en outre d’une équipe de conseillers individuels, de formateurs et mettent en relation les divers entrepreneurs à l’essai qu’elles « couvent ».
« Chaque espèce végétale nécessite des conditions favorables à son épanouissement », explique Claude Ananou. En création d’entreprise, c’est pareil ! Vous ne serez pas le même pissenlit, le même chêne ou la même orchidée selon votre environnement et les interactions que vous vivez. Mais avant tout, quelle petite graine êtes-vous ?
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ibach roger20 janvier 2015, 17:33excellent,